France
L'élection législative partielle des 4 et 11 septembre 2005 à Nancy est perçue comme un test par l'UMP. Elle met aux prises notamment le jeune radical Laurent Hénart, qui vient de perdre son poste de secrétaire d'Etat "à l'insertion professionnelle des jeunes" et tente de reconquérir son ancien mandat de député, et deux candidats socialistes, Mathieu Klein, jeune candidat officiel du partisocialiste, et Jean-Jacques Denis, ancien député et candidat dissident.
Dans ce paysage dépourvu de candidat libéral, c'est sans états d'âme que les suffrages des amis de la liberté devraient se porter sur le candidat de l'UMP, Laurent Hénart, qui tient des propos responsables sur le marché du travail, sinistré par un chômage de masse auquel toutes les mesures de "traitement social" n'ont pas remédié.
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