2008-11-13

George W. Bush et le marché libre

Extraits d'un discours de George W. Bush à New York le 13 novembre 2008, en guise de préliminaire à la réunion du G20 les 14 et 15, répondant à certains thèmes développés par le tandem interventionniste Sarkozy-Guaino en disant, en somme, qu'il ne faut pas jeter le bébé [le marché libre] avec l'eau du bain [les erreurs de politique économique qui ont été commises, notamment par les sociétés quasi-étatiques Fannie Mae et Freddie Mac] :

"History has shown that the greater threat to economic prosperity is not too little government involvement in the market - but too much," Bush said, using the U.S. government's involvement in Fannie Mae (FNM) and Freddie Mac (FRE) as an example.

"While reforms in the financial sector are essential, the long-term solution to today's problems is sustained economic growth," he said. "And the surest path to that growth is free markets and free people."

"The crisis was not a failure of the free market system," Bush said. "And the answer is not to try to reinvent that system."

"Many European countries had much more extensive regulations and still experienced problems almost identical to our own"

"It would a terrible mistake to allow a few months of crisis to undermine 60 years of success."

(Sources : AP & Dow Jones)

4 commentaires:

Rubin Sfadj a dit…

Super citation !

BLOmiG a dit…

J'en ai entendu un bout à la radio ce matin, et je comptais la blogueur...merci à toi Libertas !

Et oui, sorti du bourrage de crâne des mickael Moore et autres journaleux pitoyables pacifistes, on découvre que Bush est bien loin d'être l'imbécile que l'on veut faire croire...

à bientôt !

Manuel a dit…

C'est vive Bush maintenant? D'ailleurs il ne fait que défendre le capitalisme dans son ensemble, est-ce que cela veut dire qu'on a pas le droit d'y toucher?
Donc le fait de dire: ""And the surest path to that growth is free markets and free people." suffit?
C'est quand même facile...

AsTeR a dit…

C'est quand il se barre que je commence à l'apprécier (enfin le supporter) lui...