Le mois dernier, Expression libre relayait une chaîne de Tatamis : les 5 livres qui nous ont le plus marqué et pourquoi.
En voici cinq :
- La loi : un condensé de la pensée libérale classique, par Frédéric Bastiat
- 1984 : un plaidoyer pour les libertés menacées par l'État totalitaire, par George Orwell
- L'homme qui plantait des arbres : un homme seul peut changer les choses, en bien, par Jean Giono
- Aden Arabie : un style magnifique, mis au service d'une critique acerbe du matérialisme, par Paul Nizan
- Le livre de sable : M. C. Escher en nouvelles, pourrait-on dire, par Jorge Luis Borges
Lien : Librairie libérale
Journal libéral francophone
Deminuendus est sumptus publicus
« La Loi devenue l'instrument de toutes les cupidités, au lieu d'en être le frein ! » (Frédéric Bastiat)
2010-01-31
2010-01-30
Un syndicat libéral !
Enfin un mouvement syndical libéral !
Choisir entre la CGT, FO, la CFDT... c'est choisir entre communisme et socialisme, en somme.
Pour faire vivre les idées libérales dans l'entreprise, sachez que vous pouvez désormais adhérer au syndicat LibRes, le seul syndicat libéral existant actuellement en France.
Découvrez aussi :
- AECSPL : association pour l'étude et la création d'un syndicat professionnel libre
- blog de l'AECSPL
« Des dizaines d’années avant l’apparition des premiers partis communistes et même des premiers théoriciens socialistes, ce sont les libéraux du XIXe siècle qui ont posée, avant tout le monde, ce que l’on appelait alors la "question sociale" et qui y ont répondu en élaborant plusieurs des lois fondatrices du droit social moderne. C’est le libéral François Guizot, ministre du roi Louis-Philippe qui, en 1841, fit voter la première loi destinée à limiter le travail des enfants dans les usines. C’est Frédéric Bastiat, cet économiste de génie que l’on qualifierait aujourd’hui d’ultralibéral forcené ou effréné, c’est lui qui, en 1849, député à l’Assemblée législative intervint, le premier dans notre histoire, pour énoncer et demander que l’on reconnaisse le principe du droit de grève. C’est le libéral Émile Ollivier qui, en 1864, convainquit l’empereur Napoléon III d’abolir le délit de coalition, ouvrant ainsi la voir au syndicalisme futur. C’est le libéral Pierre Waldeck-Rousseau qui, en 1884 fit voter la loi attribuant aux syndicats la personnalité civile. » (Jean-François Revel, La Grande parade)
Mise à jour 2010-06-24 : il existe déjà un syndicat libéral en Belgique : la CGSLB
Choisir entre la CGT, FO, la CFDT... c'est choisir entre communisme et socialisme, en somme.
Pour faire vivre les idées libérales dans l'entreprise, sachez que vous pouvez désormais adhérer au syndicat LibRes, le seul syndicat libéral existant actuellement en France.
Découvrez aussi :
- AECSPL : association pour l'étude et la création d'un syndicat professionnel libre
- blog de l'AECSPL
« Des dizaines d’années avant l’apparition des premiers partis communistes et même des premiers théoriciens socialistes, ce sont les libéraux du XIXe siècle qui ont posée, avant tout le monde, ce que l’on appelait alors la "question sociale" et qui y ont répondu en élaborant plusieurs des lois fondatrices du droit social moderne. C’est le libéral François Guizot, ministre du roi Louis-Philippe qui, en 1841, fit voter la première loi destinée à limiter le travail des enfants dans les usines. C’est Frédéric Bastiat, cet économiste de génie que l’on qualifierait aujourd’hui d’ultralibéral forcené ou effréné, c’est lui qui, en 1849, député à l’Assemblée législative intervint, le premier dans notre histoire, pour énoncer et demander que l’on reconnaisse le principe du droit de grève. C’est le libéral Émile Ollivier qui, en 1864, convainquit l’empereur Napoléon III d’abolir le délit de coalition, ouvrant ainsi la voir au syndicalisme futur. C’est le libéral Pierre Waldeck-Rousseau qui, en 1884 fit voter la loi attribuant aux syndicats la personnalité civile. » (Jean-François Revel, La Grande parade)
Mise à jour 2010-06-24 : il existe déjà un syndicat libéral en Belgique : la CGSLB
2010-01-26
2010-01-23
Que proposeriez-vous si la démocratie directe existait en France ?
Expression libre relaie une chaîne d'Aequalis : Que proposeriez-vous si la démocratie directe existait en France ?
Ma première question serait :
Êtes-vous favorable à l'inscription de l'équilibre budgétaire dans la Constitution ?
L'équilibre budgétaire figure déjà, avec des nuances, à l'article 126 de la constitution helvétique et à l'article 115 de la loi fondamentale allemande.
En Suisse, l'article 126 (accepté en votation populaire du 2 décembre 2001) dispose :
"Art. 126 Gestion des finances
1 La Confédération équilibre à terme ses dépenses et ses recettes.
2 Le plafond des dépenses totales devant être approuvées dans le budget est fixé en fonction des recettes estimées, compte tenu de la situation conjoncturelle.
3 Des besoins financiers exceptionnels peuvent justifier un relèvement approprié du plafond des dépenses cité à l’al. 2. L’Assemblée fédérale décide d’un tel relèvement conformément à l’art. 159, al. 3, let. c.
4 Si les dépenses totales figurant dans le compte d’État dépassent le plafond fixé conformément aux al. 2 ou 3, les dépenses supplémentaires seront compensées les années suivantes.
5 La loi règle les modalités."
En Allemagne, l'article 115 dispose :
"Article 115 [Recours à l'emprunt]
(1) La souscription d'emprunts ainsi que les engagements sous forme de cautions, de garanties ou de sûretés de toute nature, qui pourraient engendrer des dépenses pour les années budgétaires à venir, doivent être autorisés par une loi fédérale qui en fixe ou permet d'en fixer le montant. Le produit des emprunts ne doit pas dépasser le montant des crédits d'investissements inscrits au budget ; il ne peut être dérogé à cette règle que pour lutter contre une perturbation de l'équilibre économique global. Les modalités sont réglées par une loi fédérale.
(2) Pour les patrimoines de la Fédération ayant une affectation spéciale, des dérogations à l'alinéa 1er peuvent être autorisées par une loi fédérale."
On pourrait imaginer la disposition suivante : "La France équilibre ses dépenses publiques et ses recettes sur période de dix années glissantes".
Ma seconde question serait :
Êtes-vous favorable à l'interdiction stricte du cumul des mandats électifs ?
Ma première question serait :
Êtes-vous favorable à l'inscription de l'équilibre budgétaire dans la Constitution ?
L'équilibre budgétaire figure déjà, avec des nuances, à l'article 126 de la constitution helvétique et à l'article 115 de la loi fondamentale allemande.
En Suisse, l'article 126 (accepté en votation populaire du 2 décembre 2001) dispose :
"Art. 126 Gestion des finances
1 La Confédération équilibre à terme ses dépenses et ses recettes.
2 Le plafond des dépenses totales devant être approuvées dans le budget est fixé en fonction des recettes estimées, compte tenu de la situation conjoncturelle.
3 Des besoins financiers exceptionnels peuvent justifier un relèvement approprié du plafond des dépenses cité à l’al. 2. L’Assemblée fédérale décide d’un tel relèvement conformément à l’art. 159, al. 3, let. c.
4 Si les dépenses totales figurant dans le compte d’État dépassent le plafond fixé conformément aux al. 2 ou 3, les dépenses supplémentaires seront compensées les années suivantes.
5 La loi règle les modalités."
En Allemagne, l'article 115 dispose :
"Article 115 [Recours à l'emprunt]
(1) La souscription d'emprunts ainsi que les engagements sous forme de cautions, de garanties ou de sûretés de toute nature, qui pourraient engendrer des dépenses pour les années budgétaires à venir, doivent être autorisés par une loi fédérale qui en fixe ou permet d'en fixer le montant. Le produit des emprunts ne doit pas dépasser le montant des crédits d'investissements inscrits au budget ; il ne peut être dérogé à cette règle que pour lutter contre une perturbation de l'équilibre économique global. Les modalités sont réglées par une loi fédérale.
(2) Pour les patrimoines de la Fédération ayant une affectation spéciale, des dérogations à l'alinéa 1er peuvent être autorisées par une loi fédérale."
On pourrait imaginer la disposition suivante : "La France équilibre ses dépenses publiques et ses recettes sur période de dix années glissantes".
Ma seconde question serait :
Êtes-vous favorable à l'interdiction stricte du cumul des mandats électifs ?
Cuisine LHC
Bon, par ce titre il ne s'agit pas de La Cuillère d'argent, mais d'un déjeuner du comité directeur du réseau LHC au grand complet : Ce que je crois, Echo politique, Expression libre, La Lime, Libertas, ainsi que le co-fondateur Criticus. Nous y avons parlé de LHC et de son avenir, d'Anthem : (Hymne) d'Ayn Rand, de la République des blogs, etc.
2010-01-18
2010-01-10
Révolution culturelle
Commentaires de lecteurs du Monde,
au sujet d'un vol de toiles de maîtres à un collectionneur varois.
Cela laisse pantois. La révolution culturelle n'est plus très loin.
au sujet d'un vol de toiles de maîtres à un collectionneur varois.
Cela laisse pantois. La révolution culturelle n'est plus très loin.
CGT du port de Marseille
À Marseille, un salarié du port roué de coups pour avoir refusé d'adhérer à la CGT (Le Monde, 2010-01-09)
2010-01-09
Bastiat 2011
Œuvres de Frédéric Bastiat disponibles en 2011 :
Ce qu'on voit et ce qu'on ne voit pas, éditions Livrebusiness
L'Etat, c'est toi !, éditions L'Arche
Harmonies économiques, éditions du Trident
Harmonies sociales, éditions du Trident
La Loi, éditions Lulu.com
Maudit argent, éditions Lulu.com
Pamphlets, éditions des Belles Lettres
Sophismes économiques, éditions des Belles Lettres
Lien mort :
Ce qu'on voit et ce qu'on ne voit pas, éditions Romillat
Ce qu'on voit et ce qu'on ne voit pas, éditions Livrebusiness
L'Etat, c'est toi !, éditions L'Arche
Harmonies économiques, éditions du Trident
Harmonies sociales, éditions du Trident
La Loi, éditions Lulu.com
Maudit argent, éditions Lulu.com
Pamphlets, éditions des Belles Lettres
Sophismes économiques, éditions des Belles Lettres
Lien mort :
Ce qu'on voit et ce qu'on ne voit pas, éditions Romillat
2010-01-08
Si vous aviez été tentés de l'acheter...
À propos de Qu’est-ce que libéralisme ? de Catherine Audard
(par Alain Laurent, publié par Nicomaque)
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(par Alain Laurent, publié par Nicomaque)
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2010-01-03
Effets de la liberté des prix
Source : The Freeman :
"Permission is hereby granted to anyone to reprint any article in whole or in part,
providing customary credit is given".
Quelqu'un saurait faire le même schéma en français, en .jpg, libre de droits ?
Ce serait utile pour expliquer aux francophones l'utilité de la liberté des prix...
"Permission is hereby granted to anyone to reprint any article in whole or in part,
providing customary credit is given".
Quelqu'un saurait faire le même schéma en français, en .jpg, libre de droits ?
Ce serait utile pour expliquer aux francophones l'utilité de la liberté des prix...
2010-01-02
Homosexualité et VIH
En France, dans un groupe de 100 hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, une nouvelle contamination par le VIH survient chaque année. Ce taux d’incidence est 200 fois supérieur à celui observé chez les personnes françaises contaminées par rapports hétérosexuels.
Les premiers résultats d'une enquête réalisée au printemps 2009 montrent que la prévalence biologique du VIH chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes fréquentant les établissements de convivialité gays parisiens ayant participé à l’enquête, est de 17,7% [15,3%-20,4%].
Source : INVS.
2010-01-01
Voeu 2010
À l'invitation d'Echopolitique, blog du réseau LHC, Libertas formule un voeu :
le vœu, ou plus vraisemblablement le rêve, que Nicolas Sarkozy, président de la République française, élu pour rompre avec la facilité de l'ère chiraquienne, assigne au gouvernement de François Fillon, à la faveur de la conférence sur le déficit public annoncée pour janvier 2010, la mission suivante : réduire la dépense publique d'un point de PIB par an jusqu'à ce qu'elle passe sous la moyenne européenne, en commençant dès 2010. La dépense publique, c'est 52,7 % du produit intérieur brut français en 2008. Le déficit public, c'est près d'un euro sur deux dépensé par l'État en 2009 qui est financé par l'emprunt.
Moins d'État dans nos vies, plus de liberté et de responsabilité de chacun dans le choix de son destin.
le vœu, ou plus vraisemblablement le rêve, que Nicolas Sarkozy, président de la République française, élu pour rompre avec la facilité de l'ère chiraquienne, assigne au gouvernement de François Fillon, à la faveur de la conférence sur le déficit public annoncée pour janvier 2010, la mission suivante : réduire la dépense publique d'un point de PIB par an jusqu'à ce qu'elle passe sous la moyenne européenne, en commençant dès 2010. La dépense publique, c'est 52,7 % du produit intérieur brut français en 2008. Le déficit public, c'est près d'un euro sur deux dépensé par l'État en 2009 qui est financé par l'emprunt.
Moins d'État dans nos vies, plus de liberté et de responsabilité de chacun dans le choix de son destin.
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