Journal libéral francophone
Deminuendus est sumptus publicus
« La Loi devenue l'instrument de toutes les cupidités, au lieu d'en être le frein ! » (Frédéric Bastiat)
2011-05-06
Copie d'un commentaire publié par Libertas sur le blog Expression Libre :
La politique du pire est la pire des politiques.
En outre, le dernier épisode de la nouvelle « saga DSK » montre qu’en 2012 rien ne changera. A qui appartient la Porsche Panamera qui transportait l’auguste futur candidat ? A Ramzy Khiroun (la communication, ça paye !). Conseiller de DSK, il est aussi… conseiller d’Arnaud Lagardère et membre du comité exécutif du groupe Lagardère. Vous vous souvenez, Lagardère : le « frère » du président Nicolas Sarkozy. Voilà ce qui s’appelle avoir plusieurs fers au feu.
Ces grands capitaines d’industrie ne sont pas proches de tel ou tel parti (sauf certains cas d’inimitiés personnelles, certes). Ils sont d’abord proches du pouvoir, dont ils attendent, qu’il soit de gauche ou de droite, une protection contre la concurrence et le jeu du libre marché, par l’influence qu’ils exerceront auprès du personnel politique. La France est malade de ce « capitalisme de connivence » dénoncé par Laurent Mauduit (lisez son ouvrage « Petits conseils » sur Alain Minc), de cet « oligarchisme » dénoncé par Vincent Bénard…
Comment faire entendre les voix libérales dans le débat public, et en particulier dans les mass media ?
En outre, le dernier épisode de la nouvelle « saga DSK » montre qu’en 2012 rien ne changera. A qui appartient la Porsche Panamera qui transportait l’auguste futur candidat ? A Ramzy Khiroun (la communication, ça paye !). Conseiller de DSK, il est aussi… conseiller d’Arnaud Lagardère et membre du comité exécutif du groupe Lagardère. Vous vous souvenez, Lagardère : le « frère » du président Nicolas Sarkozy. Voilà ce qui s’appelle avoir plusieurs fers au feu.
Ces grands capitaines d’industrie ne sont pas proches de tel ou tel parti (sauf certains cas d’inimitiés personnelles, certes). Ils sont d’abord proches du pouvoir, dont ils attendent, qu’il soit de gauche ou de droite, une protection contre la concurrence et le jeu du libre marché, par l’influence qu’ils exerceront auprès du personnel politique. La France est malade de ce « capitalisme de connivence » dénoncé par Laurent Mauduit (lisez son ouvrage « Petits conseils » sur Alain Minc), de cet « oligarchisme » dénoncé par Vincent Bénard…
Comment faire entendre les voix libérales dans le débat public, et en particulier dans les mass media ?