Cette journée est assez extraordinaire :
On entend les journalistes de France Info frétiller, sentant soudain leur siège se dérober, répétant en boucle "la colère des salariés de l'audiovisuel public grec".
On entend Aurélie Filipetti dénoncer la fermeture de la télévision d’État grecque au nom du "pluralisme de l'information" (comme si la Pravda était le garant du pluralisme).
On voit les salariés dudit audiovisuel public grec se réfugier... sur un canal du parti communiste.
Et personne ne s'interroge sur l'utilité d'avoir au bas mot 17 chaînes de radio et de télévision d’État en France...
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