En attendant la renationalisation partielle de Suez, déjà nationalisé de 1982 à 1987, par la fusion prochaine avec l'énergéticien d'Etat GDF, l'Etat français monte au capital de STMicroelectronics, passant de 10,9 % en 2007 à 13,75 % en 2008.
Vous ne voyez pas ce que l'Etat vient faire dans la fabrication de puces électroniques ? Libertas non plus. Il est impécunieux pour assurer ses missions essentielles (police, justice, diplomatie, défense), mais trouve au même moment des fonds pour racheter à un groupe privé italien, Finmeccanica, les parts d'une entreprise privée...
C'est mal. Le gouvernement Sarkozy ne devra pas s'étonner de son échec aux élections de mars 2008.
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