... sed libera nos a Guaino !
Récession, nous y sommes, malgré les dénis de la Pravda gouvernementale. Immédiatement ressurgit la tentation de manquer à nos engagements budgétaires européens, qui sont aussi des engagements vis-à-vis de nous-mêmes et de nos successeurs.
La France est déjà au-delà des clous. La France est déjà au-delà de 60 %u PIB de dette publique. La France dépassera vraisemblablement les 3 % du PIB de déficit public.
Il n'est pas question de lâcher encore davantage de lest ! 3 % n'est pas un minimum de déficit public par beau temps : c'est déjà la limite supérieure du déficit autorisé, par temps de crise. Si nous cédons, nous n'aurons plus qu'à contempler le désastre après la crise. Si nous ne cédons pas, nous serons mieux armés pour reprendre notre marche vers un niveau d'activité, de croissance, d'emploi, de prospérité, plus soutenu, après la tempête.
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