Pour les conservateurs, et ceux que le conservatisme intéresse : ce livre, l'instinct de conservation, publié aux éditions du Félin, devrait les intéresser :
"Être né dans le dernier quart du xxe siècle, c’est avoir bu sous toutes
ses formes le lait un peu frelaté de la révolution. C’est aussi recevoir
entre autres en héritage une planète dégradée, un projet politique usé
et, en France en particulier, une formidable ardoise publique. L’affaire
est entendue, les jeunes paieront, leurs enfants aussi, et les enfants
de leurs enfants. Reste à savoir pourquoi, avant même de savoir comment.
En retrouvant et en assumant la légitimité du conservatisme, l’auteur entrevoit des pistes pour une modernité qui ne rende pas la vie impossible aux générations à venir : un conservatisme éclairé, prospectif, qui postule simplement que le progrès n’est pas une loi de l’histoire, ni la révolution permanente une fin nécessairement souhaitable.
Un conservatisme qui voit dans la transmission de ce que nous avons reçu de meilleur la justification de sacrifices d’ores et déjà urgents, et qui cherche à donner à la fois un sens et un cadre à l’accueil des générations à venir.
Nathanaël Dupré la Tour est né en 1977. Marié et père de trois enfants, il vit et travaille à Lyon. Il collabore aux revues Esprit et Commentaire, ainsi qu’à la Revue des Deux Mondes."
En retrouvant et en assumant la légitimité du conservatisme, l’auteur entrevoit des pistes pour une modernité qui ne rende pas la vie impossible aux générations à venir : un conservatisme éclairé, prospectif, qui postule simplement que le progrès n’est pas une loi de l’histoire, ni la révolution permanente une fin nécessairement souhaitable.
Un conservatisme qui voit dans la transmission de ce que nous avons reçu de meilleur la justification de sacrifices d’ores et déjà urgents, et qui cherche à donner à la fois un sens et un cadre à l’accueil des générations à venir.
Nathanaël Dupré la Tour est né en 1977. Marié et père de trois enfants, il vit et travaille à Lyon. Il collabore aux revues Esprit et Commentaire, ainsi qu’à la Revue des Deux Mondes."
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