Un intéressant article d'Aurélie Rossignol dans Marianne 2 :
Furieux contre Sarkozy, les libéraux adoptent Bayrou faute de mieux
Journal libéral francophone
Deminuendus est sumptus publicus
« La Loi devenue l'instrument de toutes les cupidités, au lieu d'en être le frein ! » (Frédéric Bastiat)
2012-03-24
2012-03-20
Libres de choisir !
L'Institut Coppet publie des vidéos sous-titrées de la série d'émissions télévisées qui changea l'Amérique, sur "La liberté du choix". À regarder !
2012-03-14
Une autre Europe est possible
Une autre Europe est possible
Bien que l’affaire n’ait pas fait
grand bruit en France, les dirigeants de douze pays
européens se sont rassemblés pour publier une lettre
ouverte : Espagne, Estonie, Finlande, Irlande,
Italie, Lettonie, Pays-Bas, Pologne, Royaume-Uni,
Slovaquie, Suède, et République Tchèque.
Cette lettre, datée du 22 février 2012, appelle à davantage de libéralisme dans le fonctionnement économique de l’Union européenne. Le Parti Libéral Démocrate approuve sans réserve cet appel à un changement de cap, car le fonctionnement de l’Union européenne est de moins en moins libéral, rappelons-le, sous l’influence malheureuse de la France.
Cette initiative de David Cameron et Mario Monti, soutenue par dix autres gouvernements, s’éloigne des illusions entretenues par Nicolas Sarkozy et de la chasse aux bouc émissaires : pas de grands travaux, pas d’harmonisation fiscale, pas d’emprunts européens, pas de taxes aux frontières de l’Union Européenne.
Le Parti Libéral Démocrate regrette amèrement l’absence en France de débat autour de ces propositions portées par nos voisins. C’est pourtant en levant les freins à la croissance, et réduisant le poids des réglementations européennes, en appliquant effectivement le marché unique dans le secteur des services que l’on pourra améliorer la productivité, mieux répondre aux besoins des consommateurs, et que les entrepreneurs créeront de l’emploi.
Dans leur lettre ouverte, disponible ici en anglais et traduite ici en français, les 12 membres de l’UE appellent à :
- Achever le marché unique dans le secteur des services.
- Lever les freins aux échanges commerciaux par internet, en harmonisant les règles de copyright, et en favorisant les payements transfrontaliers.
- Aboutir à un marché de l’énergie efficient, en renforçant les interconnections de transport de l’énergie.
- Libérer les freins à l’investissement dans l’innovation, en créant un régime de business angels européen et en créant un environnement favorable aux développements des start-up.
- Renforcer l’ouverture commerciale en baissant les barrières douanières avec le Canada, le Japon, l’Europe de l’Est, etc.
- Réduire le poids des règlementations de la bureaucratie européenne.
- Offrir des opportunités d’emploi à tous, surtout les plus vulnérables, en libérant la création d’emploi dans les professions réglementées.
- Eviter que le contribuable paye pour les pertes des
banques en appliquant les règles de Bâle III et en
levant la garantie de l’État de venir au secours des
banquiers : ils peuvent prendre des risques mais
doivent alors les assumer.Cette lettre, datée du 22 février 2012, appelle à davantage de libéralisme dans le fonctionnement économique de l’Union européenne. Le Parti Libéral Démocrate approuve sans réserve cet appel à un changement de cap, car le fonctionnement de l’Union européenne est de moins en moins libéral, rappelons-le, sous l’influence malheureuse de la France.
Cette initiative de David Cameron et Mario Monti, soutenue par dix autres gouvernements, s’éloigne des illusions entretenues par Nicolas Sarkozy et de la chasse aux bouc émissaires : pas de grands travaux, pas d’harmonisation fiscale, pas d’emprunts européens, pas de taxes aux frontières de l’Union Européenne.
Le Parti Libéral Démocrate regrette amèrement l’absence en France de débat autour de ces propositions portées par nos voisins. C’est pourtant en levant les freins à la croissance, et réduisant le poids des réglementations européennes, en appliquant effectivement le marché unique dans le secteur des services que l’on pourra améliorer la productivité, mieux répondre aux besoins des consommateurs, et que les entrepreneurs créeront de l’emploi.
Dans leur lettre ouverte, disponible ici en anglais et traduite ici en français, les 12 membres de l’UE appellent à :
- Achever le marché unique dans le secteur des services.
- Lever les freins aux échanges commerciaux par internet, en harmonisant les règles de copyright, et en favorisant les payements transfrontaliers.
- Aboutir à un marché de l’énergie efficient, en renforçant les interconnections de transport de l’énergie.
- Libérer les freins à l’investissement dans l’innovation, en créant un régime de business angels européen et en créant un environnement favorable aux développements des start-up.
- Renforcer l’ouverture commerciale en baissant les barrières douanières avec le Canada, le Japon, l’Europe de l’Est, etc.
- Réduire le poids des règlementations de la bureaucratie européenne.
- Offrir des opportunités d’emploi à tous, surtout les plus vulnérables, en libérant la création d’emploi dans les professions réglementées.
(source : Parti Libéral Démocrate)
2012-03-10
Interview d'Oskar Freysinger
Dans le n° 31 de la revue Médias (hiver 2011-2012), une interview très intéressante sur la relation qu'entretient Oskar Freysinger avec les médias, et sur d'autres sujets : immigration, liberté d'expression, lois mémorielles, presse, télévision, internet, islam, statistiques ethniques, la France et la Suisse...
À lire en ligne ou en kiosque ! Les occasions de le lire dans la presse sont rares en France.
À lire en ligne ou en kiosque ! Les occasions de le lire dans la presse sont rares en France.
2012-03-06
La conversion politique d’une jeune libertarienne
Suffisamment rare pour être signalé, un article d'un blog du Monde sur les libertariens américains :
Caroline du Nord, La clef du Sud, blog de Luc Vinogradoff :
La conversion politique d’une jeune libertarienne
avec en prime des liens dans l'article vers Mises et Hayek !
Caroline du Nord, La clef du Sud, blog de Luc Vinogradoff :
La conversion politique d’une jeune libertarienne
avec en prime des liens dans l'article vers Mises et Hayek !
Sarkozy à contre-sens sur l'autoroute
Nicolas Sarkozy à contre-sens sur l'autoroute, c'est l'image à laquelle peuvent faire penser ces derniers jours de campagne.
Voulant diviser au lieu de rassembler, persistant dans les erreurs qu'il a commises et dans un style agressif dont il est probablement incapable de se départir plus que le temps d'une émission de télévision, aveugle quant aux réformes dont le pays à besoin, adepte du capitalisme d'Etat et de la connivence avec les entreprises du CAC 40, quand c'est d'un capitalisme populaire et de PME que la France a besoin, promoteur de l'étatisme impotent et impécunieux quand l'Etat, en France, est comme une rivière sortie de son lit qui a inondé les champs alentour, quand la France a besoin de réformes libérales et d'un Etat recentré sur ses missions essentielles afin d'y retrouver crédibilité, efficacité et équilibre financier, adepte de la concentration du pouvoir quand il devrait être rendu aux Français, pratiquant l'illusion à laquelle lui seul semble croire, fort en paroles et faibles en actes, "sans colonne vertébrale" en matière d'idées, Nicolas Sarkozy fait fausse route et accélère.
Sa seule chance serait de fendre l'armure, d'adopter un ton plus rassembleur encore que celui de François Hollande, de reconnaître ses erreurs et d'annoncer quelques axes de réformes essentielles, nécessaires et crédibles pour les 5 ans à venir, plutôt que de jeter de l'huile sur la braise communautaire en promettant des réformes accessoires comme l'étiquetage alimentaire qu'il a refusé de faire pendant 5 ans.
Equilibre budgétaire sans délai, réforme fiscale d'ensemble afin de parvenir à une vraie progressivité (à défaut de flat tax, un impôt réellement progressif serait un moindre mal : le plus lourd tribut est payé par les classes moyennes aujourd'hui : les pauvres sont exonérés, et les très riches paient un impôt dégressif...), rétablissement de l'éloignement des étrangers délinquants, soutien de la réforme anglaise de la CEDH, coopération militaire européenne, ouverture des professions réglementées, réduction du nombre de parlementaires, démocratie locale référendaire, doublement des moyens de la justice en réduisant les moyens alloués à d'autres ministères, réforme de la PAC... Il y aurait une foule de choses à faire si l'on faisait sérieusement un bilan du premier quinquennat...
À défaut d'une profonde remise en cause d'un candidat qui n'inspire que le rejet, hormis pour quelques groupies rescapées de l'ex-RPR, les modérés et libéraux ayant été écartés ou ayant pris leurs distances de leur propre mouvement, les Français qui réfléchissent se disent :
1. qu'apporterait de plus un second mandat sans bilan critique du premier, a fortiori compte tenu de la place prise par la droite populiste dans la majorité au détriment de la droite libérale et modérée ?
2. la chance que Nicolas Sarkozy change de méthode de gouvernement et accepte la séparation des pouvoirs, le jeu des contre-pouvoirs, de la concertation et du dialogue pour parvenir à un diagnostic partagé et à des décisions de consensus, plutôt que de cliver et d'imposer sa décision, parfois judicieuse, souvent erronée car précipitée et mal conçue, est-elle plus qu'epsilonesque ?
Certains voteront Hollande sans voir que ce vote précipite la ruine des finances de la France, certains voteront Bayrou sans voir que ce vote est inutile en l'absence de chance sérieuse de parvenir au second tour (en l'absence de ralliements de poids et de mise en place d'une machine électorale efficace) et en l'absence de détermination à mener une politique volontaire de réforme en profondeur, certains voteront Le Pen sans voir que son programme économique fait presque de Mélenchon un social-traître...
Triste ciel de France en cette fin d'hiver.
Voulant diviser au lieu de rassembler, persistant dans les erreurs qu'il a commises et dans un style agressif dont il est probablement incapable de se départir plus que le temps d'une émission de télévision, aveugle quant aux réformes dont le pays à besoin, adepte du capitalisme d'Etat et de la connivence avec les entreprises du CAC 40, quand c'est d'un capitalisme populaire et de PME que la France a besoin, promoteur de l'étatisme impotent et impécunieux quand l'Etat, en France, est comme une rivière sortie de son lit qui a inondé les champs alentour, quand la France a besoin de réformes libérales et d'un Etat recentré sur ses missions essentielles afin d'y retrouver crédibilité, efficacité et équilibre financier, adepte de la concentration du pouvoir quand il devrait être rendu aux Français, pratiquant l'illusion à laquelle lui seul semble croire, fort en paroles et faibles en actes, "sans colonne vertébrale" en matière d'idées, Nicolas Sarkozy fait fausse route et accélère.
Sa seule chance serait de fendre l'armure, d'adopter un ton plus rassembleur encore que celui de François Hollande, de reconnaître ses erreurs et d'annoncer quelques axes de réformes essentielles, nécessaires et crédibles pour les 5 ans à venir, plutôt que de jeter de l'huile sur la braise communautaire en promettant des réformes accessoires comme l'étiquetage alimentaire qu'il a refusé de faire pendant 5 ans.
Equilibre budgétaire sans délai, réforme fiscale d'ensemble afin de parvenir à une vraie progressivité (à défaut de flat tax, un impôt réellement progressif serait un moindre mal : le plus lourd tribut est payé par les classes moyennes aujourd'hui : les pauvres sont exonérés, et les très riches paient un impôt dégressif...), rétablissement de l'éloignement des étrangers délinquants, soutien de la réforme anglaise de la CEDH, coopération militaire européenne, ouverture des professions réglementées, réduction du nombre de parlementaires, démocratie locale référendaire, doublement des moyens de la justice en réduisant les moyens alloués à d'autres ministères, réforme de la PAC... Il y aurait une foule de choses à faire si l'on faisait sérieusement un bilan du premier quinquennat...
À défaut d'une profonde remise en cause d'un candidat qui n'inspire que le rejet, hormis pour quelques groupies rescapées de l'ex-RPR, les modérés et libéraux ayant été écartés ou ayant pris leurs distances de leur propre mouvement, les Français qui réfléchissent se disent :
1. qu'apporterait de plus un second mandat sans bilan critique du premier, a fortiori compte tenu de la place prise par la droite populiste dans la majorité au détriment de la droite libérale et modérée ?
2. la chance que Nicolas Sarkozy change de méthode de gouvernement et accepte la séparation des pouvoirs, le jeu des contre-pouvoirs, de la concertation et du dialogue pour parvenir à un diagnostic partagé et à des décisions de consensus, plutôt que de cliver et d'imposer sa décision, parfois judicieuse, souvent erronée car précipitée et mal conçue, est-elle plus qu'epsilonesque ?
Certains voteront Hollande sans voir que ce vote précipite la ruine des finances de la France, certains voteront Bayrou sans voir que ce vote est inutile en l'absence de chance sérieuse de parvenir au second tour (en l'absence de ralliements de poids et de mise en place d'une machine électorale efficace) et en l'absence de détermination à mener une politique volontaire de réforme en profondeur, certains voteront Le Pen sans voir que son programme économique fait presque de Mélenchon un social-traître...
Triste ciel de France en cette fin d'hiver.
2012-03-05
On fait encore de belles publicités
L'Odyssée de Cartier...
2012-03-04
Où va l’économie numérique ? Vers une innovation sans emplois ?
Commentaires laissés sur l'article : Où va l’économie numérique ? Vers une innovation sans emplois ?
"Bon article. Des difficultés réelles sont évoquées. Pourtant, quelles conclusions en tirer ?
Préférons-nous l’époque où Detroit avait des usines mécaniques et où la Chine était agricole et où il n’y avait pas d’iPhone ? Préférons-nous l’époque où nous étions riches et où eux étaient pauvres ? Espérons-nous trouver la machine à remonter le temps ? Rêvons-nous de remettre des frontières, pour payer très chers des produits que nous trouvons déjà trop chers, à une époque où grondent les manifestations contre « la vie chère » ?
Pour ceux que les idées dérangeantes intéressent, je vous conseille de faire les recherches suivantes :
« Friedman histoire du crayon » et « Bastiat troisième bras ».
Oui, le marché est la solution la plus efficace pour allouer les ressources et produire plus de ce qui est demandé pour moins cher. Oui, des activités nouvelles naissent, et d’autres disparaissent. Oui, il y a moins d’emploi de masse en Occident (Europe et Etats-Unis). Quelle solution ? Décréter l’emploi ? Subventionner l’emploi d’un côté en augmentant les prélèvements de l’autre ? Une solution serait de permettre aux masses de détenir une part du capital de ces entreprises qui créent de la richesse, sans considération du lieu où elles se trouvent, leur permettant de tirer une partie du revenu créé par ces entreprises qui emploient peu en Occident (quelques concepteurs très cher payés, des ouvriers asiatiques, et beaucoup de robots). Ces mots font frémir en France, mais cela signifie investir en Asie, percevoir des dividendes, créer des fonds de pension pour financer nos retraites, devenir propriétaires d’une part du capital de ces entreprises innovantes."
Post scriptum : "J’ajoute : les pistes évoquées par Rifkin de réappropriation paraissent intéressantes : produire en réseau, pour nos propres besoins : après un internet de l’information, un internet de l’énergie, par exemple. Chacun produirait un peu, et échangerait (achetant, vendant, selon le moment). Le progrès technologique devrait permettre un basculement lorsque l’énergie produite de manière domestique (petit éolien, solaire, hydraulique, etc.) reviendra moins cher que le nucléaire et le gros thermique, surtout si l’on en fait le coût complet (démantèlement des centrales, coût militaire et géostratégique des hydrocarbures). Renewable energy is homeland security…"
"Bon article. Des difficultés réelles sont évoquées. Pourtant, quelles conclusions en tirer ?
Préférons-nous l’époque où Detroit avait des usines mécaniques et où la Chine était agricole et où il n’y avait pas d’iPhone ? Préférons-nous l’époque où nous étions riches et où eux étaient pauvres ? Espérons-nous trouver la machine à remonter le temps ? Rêvons-nous de remettre des frontières, pour payer très chers des produits que nous trouvons déjà trop chers, à une époque où grondent les manifestations contre « la vie chère » ?
Pour ceux que les idées dérangeantes intéressent, je vous conseille de faire les recherches suivantes :
« Friedman histoire du crayon » et « Bastiat troisième bras ».
Oui, le marché est la solution la plus efficace pour allouer les ressources et produire plus de ce qui est demandé pour moins cher. Oui, des activités nouvelles naissent, et d’autres disparaissent. Oui, il y a moins d’emploi de masse en Occident (Europe et Etats-Unis). Quelle solution ? Décréter l’emploi ? Subventionner l’emploi d’un côté en augmentant les prélèvements de l’autre ? Une solution serait de permettre aux masses de détenir une part du capital de ces entreprises qui créent de la richesse, sans considération du lieu où elles se trouvent, leur permettant de tirer une partie du revenu créé par ces entreprises qui emploient peu en Occident (quelques concepteurs très cher payés, des ouvriers asiatiques, et beaucoup de robots). Ces mots font frémir en France, mais cela signifie investir en Asie, percevoir des dividendes, créer des fonds de pension pour financer nos retraites, devenir propriétaires d’une part du capital de ces entreprises innovantes."
Post scriptum : "J’ajoute : les pistes évoquées par Rifkin de réappropriation paraissent intéressantes : produire en réseau, pour nos propres besoins : après un internet de l’information, un internet de l’énergie, par exemple. Chacun produirait un peu, et échangerait (achetant, vendant, selon le moment). Le progrès technologique devrait permettre un basculement lorsque l’énergie produite de manière domestique (petit éolien, solaire, hydraulique, etc.) reviendra moins cher que le nucléaire et le gros thermique, surtout si l’on en fait le coût complet (démantèlement des centrales, coût militaire et géostratégique des hydrocarbures). Renewable energy is homeland security…"
2012-03-03
Sarkozy en veut à Madelin
Jeudi matin, Nicolas Sarkozy avait rassemblé tous ses alliés politiques de poids pour une petite réunion. Au QG, c’était le rassemblement du "comité de campagne" : François Fillon, Claude Guéant, Nathalie Kosciusko-Morizet et Jean-François Copé étaient notamment présents, ainsi que les représentants des différentes sensibilités de l’UMP et des "petits candidats" ralliés.
Parmi les différents sujets passés en revue, Nicolas Sarkozy a ciblé Alain Madelin qui avait critiqué sa proposition de référendum sur le chômage. L’homme politique y avait vu une "manœuvre cousue de fil brun". "Cela arrive de dire des choses qui nous dépassent, a déclaré le président candidat en regardant Hervé Morin. Mais il faut savoir pardonner. Le seul pour qui je n’oublierai pas, c’est Madelin !"
Lu sur Atlantico.fr
Parmi les différents sujets passés en revue, Nicolas Sarkozy a ciblé Alain Madelin qui avait critiqué sa proposition de référendum sur le chômage. L’homme politique y avait vu une "manœuvre cousue de fil brun". "Cela arrive de dire des choses qui nous dépassent, a déclaré le président candidat en regardant Hervé Morin. Mais il faut savoir pardonner. Le seul pour qui je n’oublierai pas, c’est Madelin !"
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